4/ Immunité des insectes

4/ Immunité des insectes

Les agents pathogènes étudiés à DGIMI ont un intérêt potentiel en lutte biologique. Leur efficacité dépend de la capacité de résistance des insectes, donc de leur immunité.

DGIMI a une expertise historique en immunité de l'insecte et a notamment bien décrit l'immunome de S. frugiperda (Legeai et al. 2014; Gouin et al. 2017, Eychenne 2022) et sa réponse à différent pathogènes (Huot et al. 2019, 2020; Visconti et al. 2019; Pigeyre et al. 2019 ; Robin et al., 2023).

Nos projets actuels visent à comprendre les conditions intrinsèques ou environnementales entraînant des variations de l'immunité des insectes. Par exemple, des infections de chenilles par des agents non virulents peuvent entraîner un phénomène de priming, augmentant la résistance des populations d’insectes ; Par ailleurs, la température, en modifiant la dynamique des interactions hôte-parasitoïde, peut affecter de manière significative le succès parasitaire, en modifiant à la fois la survie de l’hôte et l’efficacité du parasitoïde.
 

Personnes impliquées

Bernard Duvic, Isabelle Darboux, Vincent Doublet, Nicolas Nègre, Pierre-Alain Girard, Gaëlle Lextrait, Shannon Alary (PhD 2022-2025)

  • SPE EpiPrime (Resp. N. Nègre)
  • SPE INSECTE (Resp. I. Darboux)