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La campagne de recrutement ouvrira à mi-Mai. N’hésitez pas à contacter Nathalie Volkoff, directrice de l’unité et Sophie Gaudriault, animatrice du conseil scientifique stratégique de l’unité.

L’UMR DGIMI étudie les mécanismes des interactions entre les insectes ravageurs de cultures et leur environnement biotique (cortège de micro-organismes pathogènes et parasites, plantes hôtes) et leur environnement abiotique (conditions thermiques).

Notre objectif scientifique commun est de comprendre les régulations naturelles impliquant des insectes ravageurs. La dissection des mécanismes moléculaires est au cœur de notre métier. Depuis quelques années nous cherchons à étudier les modèles d’interaction de façon plus systémique en prenant par exemple en compte le microbiote associé à l’insecte, le rôle des facteurs abiotiques ou la dynamique des interactions trophiques au cours du cycle infectieux.

Nos différents modèles biologiques étudiés sont originaux :

• Les insectes ravageurs du genre Spodoptera
• La guêpe parasitoïde Hyposoter dydimator
• Les nématodes entomopathogènes Steinernema et Heterorhabditis
• Les densovirus, des parvovirus d’arthropodes
• Les bactéries entomopathogènes Xenorhabdus et Photorhabdus

Les approches utilisées font appel à un panel de disciplines incluant la biologie moléculaire, la biologie cellulaire, la métagénomique ou la génomique à l’échelle des individus et des populations. Les différents projets s’appuient sur des plateaux techniques mutualisés et des plateaux d’appui dédiés, dont ceux permettant l’expérimentation sur les espèces d’insectes étudiées (plateau insectarium et d’expérimentation sur insecte de quarantaine ou PIQ).